En raison d'une panne de l'épareuse depuis début septembre, le débroussaillement des chemins communaux de Barjols ne pourra pas être effectué avant encore 15 jours, dans l'attente des pièces nécessaires.

Découvrir Barjols

Histoire & Traditions

Le site de Barjols est tout d’abord occupé successivement par les Ligures et les Romains. Au XI° siècle, le bourg, qui dépendait du castrum de Pontevès, se développe autour de son église. Au début du XIV° siècle le château de Barjols devint une des résidences des comtes de Provence. Jacques Dueze, prévôt de Barjols et précepteur des enfants du comte de Provence devient pape sous le nom de Jean XXII. En 1322 le roi de Sicile Robert, comte de Provence, fit de Barjols où il avait été élevé, un chef lieu de bailliage.

Pendant la guerre de succession de la reine Jeanne, la ville fut dotée d’un puissant rempart gardé avec l’aide des hommes affectés à l’office du châtelain – Barral de Pontevès, seigneur de Barjols, capitaine général pour la garde du donjon. En 1441, les pierres et les bois nécessaires aux réparations des remparts furent volés; la peine d’excommunication fut prononcée contre les coupables…

En 1562, après avoir saccagé Tourves, Durand de Pontevès, seigneur de Flassans, surnommé le “chevalier de la foi”, se réfugia avec ses partisans dans Barjols. Après quatre jours de siège, la ville fut prise le 6 mai 1562 par les armées du roi commandées par Saint Auban et le baron des adrets. 600 catholiques furent massacrés, les prêtres jetés dans les puits, les églises pillées, les reliques de Saint Marcel brulées. Durand de Ponteves réussit à s’enfuir pour se réfugier à Carcès. “Paye Barjouls! Paye Barjouls” fut alors le cri de guerre des catholiques contre les protestants. Un scénario analogue se déroula de nouveau en 1590. Pour éviter de nouveaux massacres, le roi Henri IV céda la citadelle à la ville qui en fit abattre une partie. Les consuls firent démolir “la fortification tant vieille que nouvelle dudit château de peur que quelques mauvais garçons ne s’en emparent”.

La Saint Marcel

Parmi toutes les traditions locales dont s’enorgueillit la Provence, il en est peu d’aussi anciennes et d’aussi pittoresques que la St-Marcel de Barjols.

Son but est de commémorer l’arrivée dans notre village des reliques du Saint protecteur de la cité. Saint-Marcel est né en Avignon au début du Vème siècle. Il fut nommé évêque de Die dans la Drôme en 463. A près de 80 ans, en revenant de Rome, où il avait voulu voir le pape pour lui rendre compte de sa mission, le saint Vieillard, se sentant fatigué, s’arrêta au monastère de St Maurice, près de Montmeyan, village du haut Var, il y mourut et fut enterré. Son tombeau fut entouré d’une grande vénération et, ayant fait de nombreux miracles, il fut proclamé saint.

En 1349, cette abbaye tombant en ruine, St Marcel apparut en songe au seul gardien qui restait et lui demanda de faire transporter son corps dans un endroit plus digne de lui. Barjols et Aups apprenant la nouvelle, revendiquèrent aussitôt les saintes reliques. Les Tavernais, appelés depuis les avocats, conseillèrent aux Barjolais de s’emparer des reliques sans attendre de savoir qui était le plus près du monastère de Montmeyan, Barjols ou Aups, comme l’avait demandé le comte de Provence à ce moment là à Brignoles.

Le 17 janvier 1350, les Barjolais se hâtèrent vers le monastère, dont le pieux gardien avait oublié de fermer les portes et s’emparèrent du corps de St Marcel. Le groupe ramenant les reliques rencontra des femmes en train de laver les tripes du boeuf, que l’on avait abattu en commémoration de celui qui, un jour, fut trouvé dans l’enceinte de Barjols, alors assiégé, et qui sauva les habitants de la famine. Un cortège se forma, plein d’allégresse, et en rentrant dans l’église, mélangeant le profane et le sacré, les Barjolais, ivres de joie, entonnèrent pour la première fois leur refrain entraînant : SANT MACEU SANT MACEU LEIS TRIPETOS VENDRAN LEU.

Depuis ce temps là, chaque année, suivant un rite immuable, se célèbrent les Offices Religieux suivis de la “danse des Tripettes” dans la Collégiale et la bénédiction d’un boeuf devant l’église. Celui-ci est nettoyé, bichonné, les cornes et les sabots sont dorés, on lui met de belles cocardes et on le promène dans le village où il s’abreuve aux nombreuses fontaines dont la dernière, celle située dans le haut de la place de la Rouguière et dénommée d’ailleurs “la Fontaine du Boeuf”. Puis, on le mène à l’abattoir et il est rôti le lendemain sur la place de la Rouguière à l’aide d’un monumental tournebroche.

La fête se déroulait toujours le 17 janvier, mais depuis 1970 elle est renvoyée au dimanche le plus près du 17. Celle-ci se célèbre de deux façons : – la “Petite Saint-Marcel” sans le boeuf, – la “Grande Saint-Marcel” avec le boeuf. Cette dernière, il n’y a pas de périodicité fixe, cependant depuis la fondation, en 1949, des “Amis de Saint-Marcel” elle se fait, en principe, tous les trois ans.

Ce qui fait l’originalité et la célébrité de cette fête c’est la “danse des Tripettes”, sorte de sautillement qui a lieu partout : lors de la procession, lors des bals…etc mais également dans la Collégiale où tout le monde sautille, fidèles, curieux, touristes, le maire, le préfet, le clergé et même l’Evêque lorsqu’il est présent.

Cette période troublée est alors suivie d’une époque plus prospère durant laquelle l’industrie du travail des peaux se développe et fait de Barjols une véritable « petite capitale française du cuir ». Si l’existence de tanneries est avérée dès le XVe siècle, c’est au XIXe siècle que cette activité connaît un essor notoire. Dans les années 1950, trois usines subsistent, jusqu’à la fermeture de la dernière en 1983.

Au XIXème, le département du Var connaît une vague de révolte suite au coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte en 1851. A Barjols, cet épisode est particulièrement populaire avec le drame de Louis Ferdinand Martin dit « Bidouré », résistant républicain de 19 ans, « fusillé deux fois »

Patrimoine

L’église Notre Dame de l’Assomption de Barjols, fondée en 1014, est élevée au rang de Collégiale en 1060. C’est l’une des plus anciennes du Diocèse. Le chœur et le chevet ont été reconstruits au Xlllème siècle, tout comme la nef et les collatéraux au XVIème siècle. La grande nef fait 43 mètres de long sur 9 m de large, la clé sous voûte est à 15,40 m de haut.

Peu à peu classée monument historique entre 1912 et 1979, elle conserve un tympan du XIIIème siècle et des stalles de bois sculptées illustrant des scènes de la Bible du milieu du XVIème siècle. La chaire, datée de 1842 est de style renaissance, le buffet d’orgues du milieu du XVIème, a été restauré en 1987. A noter un tableau de Van Loo, œuvre de grande valeur, représentant la vierge allaitant l’enfant Jésus et un buste reliquaire contient une phalange de St-Marcel sauvée du bûcher en 1562 par une vieille barjolaise.

La collégiale possède une sonorité typique sans équivalent dans aucune autre région.

En prenant sur votre droite, la rue des Augustins, vous aboutissez à l’ancienne place des Augustins; présentement cette place est privée et n’a pas de nom. Sur la gauche, l’ancien couvent des Augustins qui s’établissent à Barjols peu après l’an 1000, selon Mr P. Vaillant, d’autres situent leur installation vers 1350. D’abord établis hors des murs du village ils s’installèrent ensuite à l’intérieur. Le clocher de leur église datait de 1440. Ils restèrent à Barjols jusqu’en 1773.

Sur la petite porte d’entrée de l’ancien couvent, on observe une volute ornée d’une feuille d’acanthe terminée par une petite boule; elle sert de clé de voûte. Cette porte du XVIIe siècle est surmontée d’une niche taillée dans la pierre de tuf : la Vierge qui s’y trouvait a été enlevée et remplacée une statuette de Saint Joseph. La porte principale (murée actuellement) date certainement du XVe s.

C’est vers 1860 que les frères Martin transformèrent en “fabrique de tannerie” cette partie de l’ancien couvent et il en a été ainsi jusqu’en 1983. Depuis lors, une restauration a été entreprise et, à travers la grille, on peut admirer le magnifique cloître de la “Maison de Saint Joseph”.

C’est un édifice du XVIe siècle, dont l’intérieur, à l’exception des voûtes surbaissées, des salles du rez-de-chaussée, de son escalier à pignons, a perdu de son caractère à la suite des nombreux changements effectués au cours des siècles passés.

La façade est percées de hautes croisées à meneaux encadrées à leur partie supérieure d’épais cordons retombant sur les côtés à mi-hauteur et terminés par des mordillons souvent armoriés.

Le porche renaissance, classé monument historique le 12 Décembre 1921, avec son immense portique en pierres, dont le frontispice porte la date de 1532, est très caractéristique par sa décoration à pilastres plats d’une ornementation très fouillée et pleine de délicieux et charmants détails.

Les chapiteaux soutiennent un large bandeau aux élégantes arabesques, surmonté d’une niche carrée qu’encadrent de part et d’autre deux niches plus petites et des figures d’angelets.

Pourquoi avoir élevé un monument à la mémoire de Bidouré ( son vrai nom étant Martin Ferdinand) ?

C’est que Bidouré à la particularité d’avoir été deux fois fusillé. Il était peigneur de chanvre à Barjols et lors du Coup d’Etat du 2 Décembre 1851, il prit la décision de rejoindre le groupe des insurgés de Barjols rassemblés à Tourtour.

Entre Aups et Tourtour il fut atteint d’une balle à la tête par les soldats de l’Empire et fut laissé pour mort dans le fossé. Secouru à temps et hébergé à Tourtour d’abord, puis à l’hospice d’Aups, il fut hélas dénoncé et repris par le régiment du Préfet Pastoureau.

Au petit jour, il fut collé contre le mur de la cour de l’Hôtel-Dieu et fusillé pour la seconde fois. D’autres monuments lui furent élevés notamment à Aups et à Saint-Maximin.

La première trace de la période industrielle des Carmes est un acte qui indique que le Sieur Gabriel Bougrain exploite une fabrique de papier en 1821. En 1859, elle est remplacée par un moulin à farine auquel s’ajoute en 1888 un moulin à huile.

En 1889, Adrien Vaillant installe une usine hydroélectrique qui permet l’éclairage public de Barjols (avant Marseille, ce qui fit la fierté des Barjolais). Des secousses provoquent en 1907 la destruction d’une partie des bâtiments. Adrien Vaillant transforme alors l’usine en minoterie. Après avoir racheté les lieux, Monsieur Fassy en fit une tannerie. Après la guerre de 1939-1945, Monsieur Fassy construisit une nouvelle micro centrale qui fut vendue à Monsieur Duchamps, l’actuel propriétaire. Alors que l’arrêté autorise ce dernier à y installer deux micro centrales, il n’en exploite qu’une seule (la plus en amont).

Par la suite en 1981, la ZAC des Carmes s’installe en amont du site. Il s’agira de la dernière tentative de maintenir l’activité industrielle des tanneries de Barjols. Malgré d’importantes sommes investies, l’exploitation ne démarra pas. La fermeture définitive survient en Septembre 1983. Les bâtiments sont à l’heure actuelle occupés par des artistes et différents artisans.

Situation géographique : 

En rive gauche du Vallon de Fauvéry, 400 mètres à vol d’oiseau à l’est du centre de Barjols, se t rouve une grande bât isse appelée les Carmes
sur la carte IGN. Au pied du mur ouest , l’entrée d’un souterrain est fermée par une forte grille de fer. Elle donne accès à un complexe troglodytique de chapelles et de cellules, dernier vestige apparent du couvent des carmes déchaux (ou déchaussés). On retrouve là un des sites si caractéristiques qui marquent la ceinture de tuf du centre Var. On y accède en prenant la route D 560 qui s’embranche au nord de Barjols pour aller vers Pontevès et Sillans-la-Cascade.
Le carme s’ouvre au pied d’une pet ite barre rocheuse de 10 m de haut , dominant le site magnifique du Vallon de Fauvéry (fouo lou veire), appelé aussi Vallon des Carmes. L’abondant ruisseau de Pontévès, qui coule toute l’année, y a creusé des
gorges assez profondes qu’il dévale de cascades en cascades et de bassins en bassins. On peut le dominer d’un belvédère qui a été aménagé il y a longtemps sur une avancée de tuf. Les gamins de Barjols viennent s’y baigner en été et depuis les années 1990, il a été fréquenté par les amateurs de canyoning. Mais, n’ayant pas été sécurisé, l’accès en a depuis été interdit momentanément .

Histoire :

L’histoire de Barjols a été profondément marquée par les guerres de religion (1562-1599).

Les protestants eurent d’abord à subir les sévices des catholiques de Durand de Pontevès, seigneur de Flassans ; ils prirent une sanglante revanche en combattant sous les ordres du comte de Crussol.
En 1552, un groupe de flagellants avait eu l’autorisation de se réunir dans la Baume Joachim, cavité naturelle creusée dans le tuf et qui domine le Vallon de Fauvéry. Leur nombre augmentant, en 1648, ils reçurent l’autorisation de l’évêque de Fréjus de dresser un oratoire au dessus du rocher dominant la grotte et d’aménager dans celle-ci une chapelle en l’honneur de la Vierge Marie. Le jour de la Visitation de l’année 1649, le sanctuaire était béni sous l’invocation de Notre Dame de Bon Refuge. Par la suite, les velléités d’indépendance de la confrérie, n’étant guère appréciées par les autorités ecclésiastiques, la demande des carmes de s’installer sur les lieux fut officialisée en juin 1678.

Rappel sur les Carmes : 

A l’origine, les carmes étaient des ermites à la recherche de Dieu dans les grottes du Mont Carmel, à Jérusalem. Albert , patriarche de la ville, leur donna une règle de vie en 1209. Au déclin des croisades et au moment de la reconquête des lieux saints par les Arabes, ils émigrèrent en Europe en 1238. A partir de 1554, Sainte Thérèse d’Avila entreprit une réforme des carmes, créant l’ordre des carmes déchaux (ou déchaussés), ainsi appelés parce qu’ils marchaient nus pieds. Il réintroduisait l’obligation de la pauvreté, de la solitude et du silence. Quinze monastères réformés furent ouverts en Espagne. Le 13 avril 1600, le pape Clément VIII permettait aux carmes déchaux de diffuser la réforme de Thérèse d’Avila hors de la péninsule ibérique. L’ordre apparaissait en France en 1608 ; dans les décennies qui suivirent une quinzaine de couvents s’y installèrent , celui de Barjols fut l’un des derniers. Mais, le couvent de Barjols semble n’avoir jamais attiré beaucoup de moines. Les carmes déchaux quittaient les lieux en 1788 et leur ordre était dissous en 1792. Au cours des XIX et XXe siècles, le site est réutilisé par diverses industries (fabrique de papier, moulin à farine, tannerie) qui dégradent irrémédiablement la chapelle principale (Allemand, 1997). 

En savoir + sur les troglodytes

Barjols Ville de Fontaines

Barjols a eu la bonne fortune d’être, depuis fort longtemps, alimenté en eau potable. En effet, dans un document daté du 24 mars 1906, il est écrit que Barjols, depuis plusieurs siècles, était doté d’une canalisation en poterie.

C’est pourquoi tous les quartiers avaient une ou plusieurs fontaines et/ou lavoirs, mais il est difficile de préciser les dates. La plus ancienne qu’il ait été relevée, est celle de 1784, gravée sur la fontaine du “Pont d’Or”

En 1894, dans ce même document, il est écrit que la distribution en poterie dans le village a été remplacée par une tuyauterie en fonte. La même année la conduite d’amenée de 1800 m de long, logée dans un souterrain, a été refaite avec des tuyaux en grès. Depuis cette époque, tous les Barjolais pouvaient donc bénéficier de l’eau courante. Il y avait en 1906 environ 32 fontaines publiques dont une dizaine à plusieurs jets. Il y avait aussi environ 125 concessions aux particuliers et aux usines dont une très importante pour la gare. Les diverses municipalités ont par la suite veillé à l’entretien et à la remise en état d’un grand nombre de ces fontaines et de ces lavoirs : c’est la raison pour laquelle on en dénombre de nos jours 28 fontaines et 15 lavoirs.

Ci-dessous nous présentons un descriptif assez détaillé de toutes ces fontaines et lavoirs.

Un audio-guide mp3 plus succinct, élaboré avec l’aide du Pays d’Art et d’Histoire de la Provence Verte et de la communauté de communes « Provence d’Argens en Verdon » est téléchargeable à l’adresse : http://www.la-provence-verte.net/decouvrir/visites-mp3.php

En savoir + sur l’histoire des fontaines

Au sommet du village s’ouvre le chemin des eaux et de leurs secrets. C’est dans une atmosphère rafraichissante qu’apparaît le “Vallon des Carmes”. 

Entre rivières et cascades, le sentier du vallon recèle une multitude de cachettes où la magie semble être maîtresse des lieux. La balade se poursuit par un chemin dont chaque chute d’eau porte un nom précis. Le “Gué du Fauvery” se franchit de pierre en pierre laissant deviner un jaillissement de plus en plus fort. Et dans un éclaboussement d’eau et de lumière se dévoile la “Cascade des Carmes”. Le Fauvery arrive sur les hauteurs de Barjols au niveau d’une falaise de tuf. Le dénivelé important entraîne une suite de trois cascades : les Carmes, le Gouffre aux épines et la Cascade du Fauvery qui arrive au village au niveau de la zone artisanale des tanneries.

Le belvédère offre une vue imprenable sur la vallée. A noter la statue d’une Vierge placée dans la falaise probablement après 1858.

Ce site naturel a été aménagé en 1996 par le Conseil Général.

SOS Vallon des Carmes : 

Le vallon des Carmes a été particulièrement touché et a subi de nombreuses dégradations cet été. La faune et la flore de notre ESPACE NATUREL SENSIBLE ont été malmenées par une trop large fréquentation et un piétinement excessif. Il nous paraît donc urgent de se pencher sur ce dossier afin de ne pas se retrouver confrontés à l’obligation d’une fermeture au public. Des pistes de réflexion sont à l’étude en partenariat avec le Département et du Syndicat Mixte Provence Verte Verdon. L’objectif est de développer une stratégie pérenne de conservation du vallon.

Tourisme à Barjols

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Horaires d’ouverture

Hors saison => Mardi, mercredi, vendredi : 9h-12h30/14h-16h. Jeudi : 14h-16h. Samedi : 9h-12h30. Fermé dimanche, lundi & jours fériés.
Avril / Mai / Juin / Septembre => Du mardi au vendredi : 9h-12h30/14h-17h. Samedi : 9h-12h30. Fermé dimanche, lundi & jours fériés.
Juillet & août => Du lundi au samedi : 9h-12h30/14h-18h. Dimanche : 9h-12h30. Ouvert les jours fériés aux heures habituelles.

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